C’est le Salon (du) Livre (de) Paris* et nous n’y sommes pas pour la première fois depuis notre naissance, le stand Normandie ne pouvant accueillir tous les éditeurs régionaux. Bon signe au niveau de la créativité en région ! Nous n’avons sorti, nous, qu’un livre en 2015. Toute petite est Rue du Départ qui lentement …mais sûrement grandit…
* Qui peut nous dire l’intérêt de ce raccourcissement de nom, de cette ablation
des articles : Plus rapide, plus contracté, plus smsé, donc plus jeune, donc plus vendeur ? Qui a le temps de se poser la question mais qui a, aussi, été payé pour penser ce changement d’appellation, plus réduction qu’inventivité ?
Rue du Départ grandit : nous sommes en train de travailler à une vente directe en ligne. Nous ne sommes pas encore prêts mais la poste et certains libraires nous donnent de très bonnes raisons de nous y atteler sérieusement !
Rue du Départ grandit s’inscrit dans des programmes scolaires :
– PILE ET FACE a été présenté au bac de français de 1ère technologique, en parallèle avec Simenon,
– LA MAISON entre dans le référentiel de 1ère de bac pro, sur la place des femmes.
– TOUJOURS MOINS est parfait dans « l’homme et son rapport au monde », en terminale de bac pro, dans une séquence sur la consommation.
Ces trois livres entrent également dans « Parcours de personnage ».
Rue du Départ grandit avec, presque prêt, : VAUT MIEUX PARTIR de Françoise Truffaut. Le livre se passe au Havre, dans ce que l’on appelle maintenant les « quartiers sud » qui étaient il y a quelques années plus liés au port. Ambiance portuaire donc, de potes, de gens atypiques, cosmopolites, plus ou moins en marge. En bord de mer, en bord de vie.
RUE DU DÉPART, maison d’édition associative, grandit grâce à ses auteurs, à ses lecteurs, à Eric Enjalbert, l’homme orchestre du site et des livres et grâce aux amis qui nous conseillent ou travaillent avec nous. Qu’ils en soient tous remerciés !