C’est commencé !

Ecrivains en bord de mer a commencé.

Des lectures en avant-première :
– du livre qui sortira chez Flammarion fin août, de Hugo Lindenberg, déjà présent l’an dernier pour son premier livre, Un jour ce sera vide, prix du Livre Inter 2021. Super gentil.
Une prestation à laquelle il n’est pas habitué, et le moment où il en est : «  Quand le livre est fini, il y a ce qu’en disent les gens. Mais là, personne n’en a encore parlé, c’est difficile. » (…) »pendant l’écriture, je suis content. Après, j’ai honte. Là, j’ai honte. »
Il n’y a pas de quoi. Ce qu’on a entendu de La nuit imaginaire fait envie.
– de Déserteur de Mathias Enard, à paraître chez Actes Sud le 23 août également. Une belle lecture à voix haute. Une pratique qu’il aime – il a d’ailleurs il y a quelques années enregistré la totalité de Boussole – » et c’est superbe » : dixit Bernard Martin.
Deux histoires s’imbriquent : celle d’un soldat et celle d’un colloque mathématique fluvial, peut-être pas à la même époque.

Puis une conversation entre Mathias Enard, Oliver Rohe et Bernard Martin : « On se connaît depuis vingt ans »
Ils ont créé ensemble, avec d’autres, dont Arno Bertina, Claro, la revue Inculte. « une revue, l’horizon d’une communauté » dit Rohe. Et ce qui les lie aussi, c’est le Liban, les livres qu’ils ont tous deux écrits sur ce pays.

Voilà ! Un bon commencement de festival.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

huit + douze =