Des châteaux qui brûlent, adaptation du roman d’Arno Bertina : les 9 et 10 novembre 2022 au Havre
présentation de la metteuse en scène : « Habituée à travailler avec des auteurs contemporains, notamment dans son dernier spectacle Entreprise, Anne-Laure Liégeois témoigne d’une démarche théâtrale vitale à l’heure où la parole politique se vide de sa substance : restituer, par la scène, une parole autre, offrant à qui veut la possibilité de s’en saisir et de réfléchir un peu différemment au monde qui nous entoure. »
Noémie Régnaut – I/O Gazette, sept 2022
Arno Bertina :
– pour qui le collectif compte, aussi bien dans le travail au sein d’une revue (Inculte entre 2004 et 2011), que dans l’écriture à 6 mains – que ce soit avec François Bégaudeau et Oliver Rohe : Une année en France, ( Gallimard 2007), Oliver Rohe encore et Matheu Larnaudie : Boulevard de Yougoslavie (Inculte, 2021) -, ou dans les coopératives ouvrières, connues grâce aux ouvriers de La Souterraine dans la Creuse.
– pour qui la littérature compte comme « façon de répondre à la vie humiliée »
– pour qui l’écriture de François Bon « a été un appel d’air » par sa capacité à « travailler la forme, la syntaxe et ne pas perdre le monde. »
(cf l’émission sur France Culture : Entendez-vous l’éco, 28 octobre 2021)
Dernièrement, Christian Salmon a fait la différence entre les écrivains « ambianceurs » et les « acousticiens ». Arno Bertina est évidemment un acousticien..
On pourrait aussi distinguer les écrivains en ceux « de surface » et les « irradiés ». Arno Bertina serait, là aussi, évidemment, de cette dernière espèce.
Arno Bertina :
– pour qui le collectif compte, aussi bien dans le travail au sein d’une revue (Inculte entre 2004 et 2011), que dans l’écriture à 6 mains – que ce soit avec François Bégaudeau et Oliver Rohe : Une année en France, ( Gallimard 2007), Oliver Rohe encore et Matheu Larnaudie : Boulevard de Yougoslavie (Inculte, 2021) -, ou dans les coopératives ouvrières, connues grâce aux ouvriers de La Souterraine dans la Creuse.
– pour qui la littérature compte comme « façon de répondre à la vie humiliée »
– pour qui l’écriture de François Bon « a été un appel d’air » par sa capacité à « travailler la forme, la syntaxe et ne pas perdre le monde. »
(cf l’émission sur France Culture : Entendez-vous l’éco, 28 octobre 2021)
Dernièrement, Christian Salmon a fait la différence entre les écrivains « ambianceurs » et les « acousticiens ». Arno Bertina est évidemment un acousticien..
On pourrait aussi distinguer les écrivains en ceux « de surface » et les « irradiés ». Arno Bertina serait, là aussi, évidemment, de cette dernière espèce.
Rappel à Françoise B., Dominique L., Mo S., Nelly D , Marie-Hélène M., Cécile P., Léa T., Véronique G., Ghislaine P., Marie-Claude J., Marie-Agnès A., Catherine D. et Caroline L. : déjeuner prévu avec Arno Bertina le 9 novembre !