Milène
« Merci Catherine pour le mouvement muet étrange inutile, l’homme répandu, la mer chaude où s’avancer confiant, merci pour les swings, le double quitté lentement, les deux variétés des pleurs, les ronflements capitaines, tout éteindre à temps, le petit jour d’Aube murale, l’art du secret et ne pas bouger ses yeux mais ça ne peut continuer longtemps, la traduction par machine, traduire le miel, salut le miel, les mots tombaient dans la poitrine, les interlocuteurs que seront les défunts, les coups de dieu, plus craindre que jamais le calme du dimanche, encore, gaza, la fin du monde jour après jour, la calme jonglerie, l’encyclopédie des guerres, l’ordre répèté du vent, peur ou pas la chose à faire et lavortement, l’eau envahie par un fantôme, le champs de l’inquiétude, le courage dans le noir de disparaître et le monde perdu de l’océan pacifique, les îles qui glissent les trajectoires d’îles… je me dis c’est ce que vous faites, faites là, des trajectoires d’îles, faire voyager le voyage, flots fragments, nos jours, les vagues si têtues… Merci tellement Catherine pour ces bribes d’actualité raccrochées par caviardage à la page, décrochées de la grande vague du temps C’est complètement étonnant et beau.. »
Milène
« Et on ne sait plus ce qu’on relit, un livre, ou le temps même. »
WOUAH !
Cette réponse à elle seule doit te donner la pêche et justifie que tu poursuives ce travail originale des PU.
Oui Emmanuelle, et avant, l’invitation de Julia Deck !
Super beau et super gentil !!