Last but not least :
des textes d’auteur(e)s français(es) :
– Qui-vive de Valerie Zenatti, l’Olivier 2024 : Une femme perd le sens du toucher, retrouve des lettres de son grand-père, revoit des vidéos de Leonard Cohen à Jérusalem, va en Israel, de Tel Aviv à Jérusalem, cherche à retrouver ses fantômes.
– L’origine des larmes de Jean-Paul Dubois, L’Olivier 2024. Un homme qui travaille aux pompes funèbres vient tuer son père mort. Il a à en parler à son psychiatre.
– L’amour de la mer de Pascal Quignard, 2023, Gallimard : « une belle écriture mais je n’avance pas » dit M H
– Ellis Island de Georges Perec, P O L 1995 : une description de l’île où arrivaient les migrants de 1892 à 1924. Une édition illustrée existe de même qu’un documentaire.
– La santé psychique des génies, de Patrick Lemoine, 2022 : les génies du bien comme les génies du mal par un psychiatre, chercheur en neuro-sciences à Lyon et spécialiste du sommeil: « une même méthodologie pour chacun : les biographies résumées et les diagnostics. Beaucoup sont dans la bipolarité. J’ai beaucoup aimé ce livre » dit F.
– La rencontre – une philosophie de Charles Pépin, Allary éditions, maintenant en Pocket.
– La personne et le sacré de Simone Weil, écrit peu avant sa mort, à Londres. Publié en 1950 puis de nouveau en 2019.
– Les passeuses d’histoires de Danièle Flaumenbaum, 2015, Payot. Les grands-mères et la transmission d’histoires de vie.
– un podcast « super intéressant et amusant » sur France Culture : de 17h à 18h, toute une semaine sur la ménopause.
Des textes d’auteur(e)s étranger(e)s :
– Ma vie avec Virginia , Des extraits du journal de Leonard Woolf, Les Belles Lettres éditions, 2023, traduction de Micha Venaille. Avant leur mariage, sa vie à Ceylan, son analyse négative du colonialisme. Leur vie commune.
– Le livre de cuisine d’Alice Toklas (1877-1967) éditions de Minuit, traduction de Claire Teeuwissen : des recettes – prétextes, de la compagne de Gertrud Stein. écrit après la mort de celle-ci. Sur leur vie.
– La saga des émigrants de Vilhelm Moberg (1898-1973) en 5 tomes, en Livre de poche, traduit par Philippe Bouquet. « super bien fait » dit M.
– Le liseur de Bernard Schlink, publié en France chez Gallimard en 1997, traduit par Bernard Lortholary. En Folio. Existent de lui, aussi en poche trois « polars » dont Brouillard sur Mannheim.
– tout Mario Rigoni Stern (1921-2008) , en 10-18 : des « romans » à base de ses souvenirs de guerre et de captivité en Russie.
– Putain de mort de Michael Herr (1940-2016) : paru en 1977 aux USA, surtout constitué d’articles publiés dans Esquire, journal pour lequel il couvrait la guerre du Vietnam en 1968-69. Traduit par Pierre Alien chez Albin Michel en 1980, puis en Livre de poche. Aussi co-scénariste d’Apocalypse now de Coppola (1979) et Full metal jacket de Kubrick (1987).
– Montana 1948 de Larry Watson, 2010, ed Gallmeister, collection Totem. Traduit par Bertrand Péguillan : histoire de prédateur sexuel. Tout le monde sait mais vu son importance sociale, on dissimule.
Prochain rendez-vous aux Vivants, le jeudi 16 mai à partir de 18H.