Elles et ils avaient beaucoup, beaucoup lu :
un peu de documents, ou documents-fictions :
– La chair des autres de Claire Berest , Albin Michel, 2025 : à chaud, le procès de Mazan que Claire Berest a pu suivre en tant que journaliste.
– Finistère d’Anne Berest, 2025, Albin Michel : sur la Bretagne (« j’y étais » dit J), le grand-père marin, et le père. De 1909 à nos jours.
Certaines se souviennent de Gabriële, écrit par les deux soeurs Berest sur leur ancêtre, la femme de Picabia. Chez Stock, 2017. Véronique : »Vraiment bien sur l’histoire de l’art »
– Kolkhoze d’Emmanuel Carrère, 2025, P O L : sur sa mère Hélène Carrère d’Encausse.
son texte aussi dans la revue Kometa.
Frederick : « il met au point sa façon d’écrire, utilise le « je » dès L’adversaire »
– Chagrin d’un chant inachevé : sur la route de Che Guevara, 2025, Gallimard. « C’est plein d’humour, léger » dit Colette qui est arrivée à cet auteur par Un certain M. Piekielny, paru en 2017, trouvable en Folio. Désérable était parti à la recherche du voisin de Romain Gary, croisé dans Promesse de l’aube.
– Où les étoiles tombent de Cédric Sapin-Dufour, 2025, éd. Stock : par bribes, l’accident de parapente de sa femme et ses suites.
Un peu de romans français :
– La barque de Masao d’Antoine Choplin, chez Buchet-Chastel, 2024, maintenant en Points. Un ouvrier, Masao, retrouve sa fille après des années. Les liens se retissent.
– Entre toutes de Franck Bouysse. Un intime familial, des vies de femmes paysannes dans les années 1910. « De très beaux personnages. Une écriture poétique. » dit V qui ajoute avoir fini le livre en larmes.
– Les ombres du monde de Michel Bussi, 2025, éd. Lizzie : En bon géographe, il donne une très bonne idée de ce qui s’est passé au Rwanda dans les années 90. Mais c’est aussi une fiction qui se passe maintenant.
Et de très nombreux romans étrangers qui seront évoqués dans le prochain post.