Revenus de l’Autre Livre

Nous avions des raisons de craindre qu’il y ait peu de public :
– c’était une première à :
. ces dates-là
. cet endroit-là
– cela avait lieu en même temps que Salon Livre Paris, la MEGA-manifestation avec les MEGA-éditeurs.
Eh bien non ! Le public est venu, même sous la neige ! Des lecteurs qui nous suivent, des nouveaux qui se laissent tenter par des couvertures, par des titres.
Et puis, nous avons eu la chance d’avoir des voisins sympathiques, créatifs et sympathiques : le Réalgar avec, par exemple, Emmanuel Ruben et son Terminus Schengen tout juste sorti de l’imprimerie, le Vampire actif à qui on a pris le dernier Eric Bonnargent :Atopia. Petit observatoire de littérature décalée, Zinnia avec sa très jolie Trilogie de la tristesse de Maria Malusardi. Les nourritures de l’esprit allant avec les terrestres, nous avons aussi bu quelques Bourgognes aligotés et autres Julienas. Merci le Vampire !
Autre plaisir : revoir Jean-Bernard Pouy sur le stand d’un de ces éditeurs fous ( Ed. Et le bruit de ses talons) qui continuent, continuent malgré les difficultés, parce qu’entourés d’auteurs fidèles. Super lecture : La base de JB, texte de 2001 mais qui tient toujours ! Preuve évidente que les livres n’ont pas une durée de vie de trois mois.
Prochain salon, ce week-end : on vous en parle vite.

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