Mais nous n’avons pas évoqué que ces livres-là : voilà, dans le complet désordre :
- Le bal des folles de Victoria Mas : premier livre, plus ou moins documentaire sur l’hystérie au 19 ème siècle, « qui manque d’empathie ».
L’abattoir de verre de J. M. Coetzee, traduction de Georges Lory : sept nouvelles avec le personnage, déjà évoqué dans un précédent roman, d’Elizabeth Costello.
- Les larmes noires sur la terre de Sandrine Colette : « fort ! »
- Le mystère de la chambre 622 de Joe Dickers : aimé par une et pas par une autre.
- Ceux qui partent de Jeanne Benameur, Actes Sud, sur l’exil, la migration : « Cette auteure, c’est toujours bien »
- Dé mem brer de Joyce Carol Oates, traduit par Christine Auché, éditions Philippe Rey, 2020 : sept nouvelles « gothiques », avec des femmes . D’elle aussi, on dit : « Oates, c’est toujours bien. »
- Vache tachetée et concombre fugitif : compilation d’articles, de chroniques, de récits d’Octave Mirbeau (1848-1917), collection » l’exhumérante », éditions L’arbre vengeur.
- Les femmes de Heart Spring Mountain de Robin McArthur, traduction de France Camus-Pichon, Albin Michel, 2019 : un premier roman après un recueil de nouvelles : on est dans le Vermont, de 1848 à 1996.
- des histoires d’épidémie… tiens donc !…: En un monde parfait de Laura Kasischke, traduit par Eric Chedaille, en Folio en 2020. L’aveuglement de José Saramago, traduit par Geneviève Leibrich, 2000, Points. La quarantaine de Le Clezio, 1997, Folio.
- Le tiers-temps de Maylis Besserie, éditions Gallimard 2020 : le premier roman de cette productrice à France-Culture : les derniers mois imaginés de Samuel Beckett dans la maison de retraite parisienne nommée Le Tiers Temps où il a réellement fini ses jours.
- Et puis, on est revenus sur des livres déjà évoqués et beaucoup aimés : de Rodolphe Barry, chez Finitude : Honorer la fureur, de Joseph O’Connor : Le bal des ombres. L’ordre du jour d’Eric Vuillard : « ouah ! »
Enfin, des classiques que le confinement nous a donné envie de relire : La peste d’Albert Camus, évidemment, Orgueil et préjugé de Jane Austen : « délicieusement ennuyeux », Récits de Kolyma de Varlam Chalamov : …un autre enfermement…
Si le coronavirus nous laisse tranquilles…
nous vous donnons rendez-vous au Chat Bleu le jeudi 17 septembre
et vous souhaitons un bel été.