Les Boréales de Normandie 2016

Du 17 au 27 novembre. 25 ème édition. Spectacles, expositions, cinéma, ateliers et bien sûr LITTERATURE. Principalement autour de l’Estonie et de la Finlande.

Ce week-end, c’était donc LITTERATURE
et on pouvait, comme chaque année, faire des découvertes (estoniennes  le 19 novembre) en
bm_cvt_lhomme-qui-savait-la-langue-des-serpents_8538– entendant Guy Abgrall lire des extraits de L’homme qui savait la langue des serpents de Andrus Kivirähk aux éditions du Tripode. 
– rencontrant le jeune Mehis Heinsaar auteur de nouvelles aux personnages oblomoviens, Katrina Kalda arrivée de Tallinn à 10 ans, publiée pour la troisième fois chez Gallimard, Andreï Ivanov, russophone qui, avec Le voyage de Hanumân au Tripode également, transporte le lecteur dans un camp de migrants danois.
Belle découverte aussi, l’auteur islandais Gudmundur Andri Thorsson avec La valse de Valeyri, traduit par Eric Boury, aux éditions Gallimard, entre roman et nouvelles, commencé après la crise économique islandaise. Les seize histoires qui le 51exdn0thfl-_sx195_composent,  parlent d’habitants du même village, le 24 juin, jour le plus long, le plus lumineux, le plus sujet aux sortilèges. Elles sont reliées les unes aux autres par de tout petits éléments : par exemple, une mouche qui sort par la fenêtre à la fin d’un texte et entre par une porte dans un autre.

Il y avait aussi d’autres auteurs bien plus connus, de polar ou non, dont Arnaldur Indridason et Olivier Truc.

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