Critique toujours…

Lisez et comme nous, appréciez :
Dominique Baillon-Lalande, amoureuse des livres, de l’écriture, grande amie du grand et regretté Pascal Garnier, nous a fait le plaisir de parler de Pile et face de Dominique Delahaye dans la revue en ligne Encres vagabondes :

Tout d’abord, une préface fort sympathique de Jean-Bernard Pouy pour introduire ce polar fluvial, qui nous donne quelques clefs sur l’auteur. De quoi nous mettre l’eau à la bouche.

Puis, ça démarre… On est au bord de la Meuse, dans le milieu de la batellerie, près de Namur, et dès la première page c’est un mort qui nous accueille : « quatre heures du matin, l’heure des cauchemars ou des gueules de bois. » Un corps disloqué avec une tige de fer au travers du crâne, non identifié, pour l’instant…
Le « Marlou » péniche achetée depuis peu, amarrée sur les lieux du drame, appartient à Samuel. Un fils à papa homosexuel en rupture avec sa famille, vague étudiant passant des fêtes avec les copains aux petits trafics de voitures de luxe puis poussant l’audace à se compromettre dans quelques actions plus périlleuses détournées pour son propre profit, semble chercher à prendre le vert et à se cacher. « Les liquidités c’est bien pratique, mais c’est encombrant. »…

La suite est sur le site de la revue Encres vagabondes

Pascal Millet sur la sellette

Laurent Greusard a aimé Ton visage et l’a écrit !

Jalousie derrière fenêtre
Toute l’ambiance du roman noir est là : un mari jaloux qui a une crise d’amnésie – d’ailleurs, qu’a-t-il fait durant celle-ci ? Pourquoi rêve-t-il d’un cadavre de femme dans le coffre de sa voiture ? – et une voisine au charme vénéneux qui se promène nue devant les fenêtres. Une intrigue qui tourne autour des milieux artistiques contemporains avec un bel artiste conceptuel qui montre des accidents de voiture. Cette intrigue est rendue dans une ambiance propre au thriller psychologique de Pierre Boileau et Thomas Narcejac. Nous sommes dans la tête d’un mari aux pulsions étranges. De temps en temps, nous lisons le scénario d’un crime au long d’une balade nocturne dans les bars.

La suite sur le site K-libre

Pascal Millet vu par …

Claude Le Nocher, grand lecteur de noir devant l’éternel et blogger hyper-actif :

Après “Pile & face” de Dominique Delahaye, les Éditions Rue du Départ nous proposent un roman de Pascal Millet : “Ton visage”…
Mathilde et lui, un couple actuel. Mathilde est dans l’évènementiel artistique. En ce moment, elle organise la future prestation française de Peter Swan. Elle a passé le week-end aux Pays-Bas pour élaborer le projet avec celui-ci. C’est un artiste d’inspiration macabre, ce Peter Swan. Pour la mise en scène évoquant un accident qu’il prépare, il a besoin d’une voiture abîmée sur laquelle une actrice jouera le cadavre. Mathilde s’active pour tout préparer. Lui, il est scénariste. Pas très connu, sans doute. Il utilise une machine à écrire Olivetti; peut-être qu’il l’estime propice à son inspiration. Il commence un nouveau scénario, nébuleuse histoire noire et criminelle, aux ambiances mystérieuses et incertaines…

Lire la suite sur le blog de Claude Le Nocher