D’autres critiques !

– Le bouquin est si fort! dit Gilda F.
– Plus qu’un lieu, c’est une femme qui hante ces pages, de celles que l’on croit connaître et que l’on croise sans les reconnaître : Christel G.
– Vraiment un très beau livre: fascinant ce climat de tension qui règne dès les premières lignes et qui dure : Francine C.
– La construction et l’écriture efficaces, la tension, le sentiment d’oppression, vous l’avez dit déjà. Ce que j’aime dans les livres, c’est qu’ils restent ouverts et continuent à « agir » en nous : c’est le cas ici » : Véronique G.

Vendredi 3 mai à 18h, Emmanuel Delhomme, sur France Inter :
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Et comme on se mêle de tout : 15) au Jeu de Paume, Adrian Paci

Comme d’habitude, dans ce lieu dévolu à la photo, deux expositions, une classique et l’autre, d’un artiste contemporain : première rétrospective d’Adrian Paci en France :peintures, mosaïques, photos, vidéos. Ce sont elles surtout qui nous ont plu.
Adrian Paci est né en Albanie et vit maintenant en Italie.
« Pleureuse » (2002), « Peintre » (2002), « Les derniers gestes » (2009) parlent de son pays, de ses traditions, de sa beauté, de ses difficultés et travers. Dans « Croyez-moi je suis un artiste » (2000), « Centre de rétention provisoire » (2007), il est question d’émigration, la sienne d’abord puis il en crée la métaphore avec son escalier d’embarquement sans avion mais couvert d’hommes et femmes en attente. De même, »Bleu électrique » (2010) où guerre et pornographie sont étroitement mêlés avec humour et dans le fond et dans la forme, « La colonne » (2013), pièce réalisée à l’occasion de l’exposition, évoquent le monde d’aujourd’hui, son fonctionnement et ses maux. »La colonne », une vidéo de 25 minutes et une sculpture présentée à l’extérieur: c’est le chemin d’une colonne de marbre, de la carrière en Chine à sa fabrication, pendant le transport par des ouvriers chinois.
De l’Albanie à l’ailleurs, de l’artiste à la mondialisation, Adrian Paci part de lui, de la spécificité de son origine, mêlant poésie grave et réflexion amusée pour arriver aux questions actuelles : la beauté est toujours là, l’ironie aussi.

Ouf! les hommes s’y mettent aussi!

Voilà
– ce qu’a écrit, à Nicolas Jaillet, Pascal Cottin, libraire, animateur de débats:
« A peine reposé, je sais que ce livre restera. Tout au long de ma vie de libraire, quelques livres m’ont suivi et je ne les lâche pas. Le tien en fait partie. »
– une ou deux phrases de l’article de Claude Le Nocher, sur son site:
« Nicolas Jaillet est un perfectionniste. Au fil de la lecture, on s’aperçoit que son texte est ciselé (…), c’est une construction parfaitement mise en place (…) »
lire la suite sur le blog de Claude Le Nocher

– ce qu’a dit Emmanuel Delhomme, de la librairie Livre Sterling, Paris: « c’est formidable: une vraie histoire, comme un coup d’épée. On l’imagine au cinéma. »

La maison : critiques de lectrices

– « J’ai lu Nicolas Jaillet hier soir. J’étais littéralement « dans la maison ». Terrible »
Caroline L.
– « La maison » me plaît ++ » Monique S.L.
– « je viens de terminer « La maison ». Tu le commences et tu ne le lâches plus » Annie T.
– « Ca correspond à plein de femmes! » Françoise P.
– « Je l’ai dévoré, je l’ai adoré… Complètement original, très bien écrit.(…) Ginou L.
– « On est captivé. Une gourmandise, à dévorer » Bertile T.
– « On y entre et on ne le lâche pas » Laure de C.
– « J’ai failli arrêter ma lecture à cause de la tension de certaines scènes. J’ai continué. Heureusement. » Malvina H.